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Reyrieux

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Reyrieux s’étend sur 1 569 hectares. La commune s’étend des berges de la Saône au Sud-Ouest jusqu’au hameau de Pouilleux sur le plateau de la Dombes, limitrophe des communes de Saint-Jean-de-Thurigneux et de Civrieux.

Département de l’Ain, Canton de Reyrieux

  • Superficie totale : 1 569 hectares
  • Altitude moyenne : 266 mètres
  • Point culminant : 321 mètres
  • Longueur de voirie : 33,45 km

Reyrieux est une commune qui compte 4 044 habitants, les Talançonnais (Recensement 2008).

Communes limitrophes

Reyrieux appartient à la Communauté de Communes Dombes Saône Vallée, territoire qui bénéficie du label "Pays d’Art et d’Histoire". Le dossier est consultable dans la colonne ci-contre.

Un peu de géographie

La commune, située en bordure de la Saône, présente une géographie variée. Du centre du village, lieu du développement historique, on descend juqu’à la Saône tandis que le reste de la commune est partagé entre espaces bâtis (résidentiels) et espaces naturels.

La géographie naturelle de Reyrieux a fortement influencé l’urbanisme, qui se décline d’une façon assez logique.

La plaine alluviale de la Saône : elle est classée en zone naturelle et pour une bonne partie agricole.

la partie "Côtière", en forme d’arc de cercle orienté au Sud et à l’Ouest, a vu se développer l’urbanisation autour du village et de deux hameaux anciens, Balmont, côté Trévoux et Veissieux, côté Parcieux.

Un peu d’économie

L’activité économique de la commune s’est intégrée à la tradition rurale et résidentielle de Reyrieux, avec un tissu commercial et artisanal dynamique. Plus de 60 commerçants, artisans et PME concourent à un équilibre socio-économique local. Enfin, le tissu associatif, fort de ses 25 associations, offre aux Talançonnais de nombreuses activités sportives, culturelles ou caritatives.

Un peu d’histoire

Reyrieux a des origines gallo-romaines : des vestiges ont été retrouvés sur le site de la source d’eau minérale et vers le quartier du Bret. D’autres vestiges, mérovingiens, ont été retrouvés dans le quartier des Sables.

Son histoire commence en 843. Par le traité de Verdun qui partage l’Empire carolingien de Charlemagne, la Saône devient la frontière entre les états germaniques et le royaume franc. Dans la région, les territoires de la rive gauche de la Saône sont rattachés plusieurs fois soit à l’Empire soit à différents royaumes éphémères, dont le royaume de Bourgogne, avant de passer en 1032 sous l’autorité du Saint Empire romain germanique.
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L’Eglise de Lyon acquiert peu à peu des biens en "Terre d’Empire". Aux alentours de l’an 1000, ces possessions de l’Eglise de Lyon dans la région se trouvent en grands périls.

C’est dans le dénombrement des biens de l’Eglise de Lyon que Reyrieux est mentionné pour la première fois.

Plus tard, la Seigneurie de Reyrieux dépend des sires de Villars.

Le 11 août 1402 Reyrieux est vendu ainsi que Trévoux, Ambérieux et le Châtelard par Humbert VII, le dernier des Thoire-Villars à Louis II de Bourbon.

C’est le commencement de l’histoire d’une souveraineté indépendante : la Principauté de Dombes, dont les grandes figures seront, au XVII° siècle : Anne-Marie-Louise d’Orléans, duchesse de Bourbon-Monpensier, princesse de Dombes, dite « La Grande Mademoiselle » et Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, fils de Louis XIV et de Madame de Montespan.

Après 1743, la seigneurie de Reyrieux appartient aux comptes de Garnerans et fait toujours partie de la Souveraineté de Dombes, châtellerie de Trévoux, jusqu’au rattachement au Royaume de France en 1762.

Téléchargements

Label Pays d’Art et d’Histoire pour la CCDSV février 2018 PDF - 31.7 Mo
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Plan de Reyrieux avril 2015 PDF - 1.2 Mo
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